Entre deux déluges, le jardin s'épanouie, se colore, voir s'écroule en luttant comme il peut aussi parfois...
Pas de trop grosses inondations ici, c'est une chance et le jardin semble pour le moment s'en accomoder.
En ce moment j'ai l'impression de passer plus de temps à couper les roses pourries qu'à profiter rééllement des floraisons. Sans parler des mauvaises herbes qui profitent de ces conditions météorologiques tropicales pour pulluler partout.
Le jardinier n'est jamais content, c'est bien connu!
Allé partons faire un tour de jardin
Du côté des roses,
La Sevilla rose
Iceberg et Lavender Dream
Gentle Hermione
Leonardo da Vinci
Pierre de Ronsard, qui chez moi ne grimpe pas mais s'écroule le long de la barrière du garage. Associé au chevrefeuille, je le laisse mener sa vie à sa guise, tant pis je n'aurai pas le rosier grimpant révé qui partirait à l'assaut du pignon de la maison
Gertrude Jekyll de David Austin, encore jeune
Parfum d'Orléans
Associé aux knautias
Lady of Shalott
Yann Arthus Bertrand qui a pris tant d'ampleur qu'on ne pourra bientôt plus accéder au potager
Jubilee celebration qui joue les hôtes d'accueil à l'entrée du jardin
Rhapsody in blue
Polka
Je termine ce post avec quelques vues d'ensemble et scènes choisies deci delà
Espérons que la météo se stabilise à présent, le jardin est gorgé d'eau pour les semaines à venir!
Passez une bonne semaine (la prochaine fois je vous parle de ma balade à Chaalis et des premières floraisons du sol!)